Les bols himalayens, qu'ils viennent d'Inde, du Népal ou du Tibet, sont utilisés depuis des millénaires par les moines mais aussi par l'ensemble de la population de l'himalaya, comme auxiliaires précieux à la méditation et aux massages sonores, mais aussi dans un grand nombre de moments de la vie quotidienne où la dimension du sacré entre en jeu..
Ils peuvent être utilisés comme récipients de cuisine quand une circonstance nécessite l'apport dans l'alimentation de la richesse des 7 métaux qui les composent ( argent, cuivre, étain, fer, mercure, or, plomb), qui eux mêmes se réfèrent aux 7 planètes auxquelles ils sont associés (Lune, Vénus, Jupiter, Mars, Mercure, Soleil, Saturne), elles-mêmes productrice de leurs propres énergies cosmiques. Ainsi, l'univers entier se retrouve au coeur du bol et transcende l'acte de manger.
Le même rapport au cosmique entre en résonnance lorsque l'on frappe le bol ou qu'on le fait chanter. C'est un instrument sacré, puissant, dont les sonorités relient l'être à son identité à la fois universelle et particulière. Les répercussions bénéfiques de leurs sonorités sur le corps ont été étudiées depuis les années 80 par quelques scientifiques et thérapeutes pionniers tels le Dr Mitchell Gaynor, Fabien Maman, Peter Hess ou Diane Mandle.
Les massages sonores aux bols himalayens, par l'intermédiaire des 65% d'eau dont notre corps est constitué, créent des ondes qui entrainent un brassage puissant jusqu'au coeur de nos cellules, ainsi que dans nos différents corps subtils. Ils augmentent ainsi la puissance et la fluidité des flux d'énergies.